Cultures andines, empire Inca, Equateur, Chili.

 

  1. Aaronson Wendy,Ridgely Bill 1994, Adventures inChicha and Chang: Indigenous Beers of the East and West, Zymurgy 17(1), 32:37.
    • Un article très court sur le brassage moderne de la chicha de maïs et du chang tibétain d'orge.
  2. Bejarano Jorge1950, Laderrota de un vicio: Origen e historia de la chicha, EditorialIqueima, Bogotá.
  3. Berryman Carrie Anne 2010, Food,Feasts, and the Construction of Identity and Power in Ancient Tiwanaku: ABioarchaeological Perspective. PhD. Vanderbilt University, Tennessee.
  4. Brass Tom 1989, Beer DrinkingGroups in a Peruvian Agrarian Cooperative, Bulletinof Latin American Research 8(2), 235:256.
  5. Bray Tamara L. 2003a, To DineSpendidly: Imperial Pottery, Commensal Politics and the Inca State. InThe Archaeology and Politics of Food and Feasting in Early States andEmpires, ed. Tamara L. Bray, 93-142 New-York.
  6. Bray Tamara L. 2003b, The Commensal Politics of EarlyStates and Empires, In The Archaeology and Politics of Food and Feastingin Early States and Empires (Tamara L. Bray ed), New York, 1:13.
  7. Bray Tamara L. 2003c, Inka Pottery asCulinary Equipment: Food, Feasting, and Gender in Imperial Design, LatinAmerican Antiquity 14(1), 3:28.
  8. Burger Richard L., Van Der Merwe NikolaasJ. 1990, Maize and the Origin of Highland Chavín Civilization: An IsotopicPerspective, American Anthropologist 92(1), 85:95.
    • Le maïs est une céréale de type C4 (métabolisme), opposé aux plantes de type C3 (quinoa, pomme de terre). Les plantes C4 laissent une signature isotopique dans les os qui permet d'évaluer l'apport du maïs dans l'alimentation humaine. Les squelettes de Chavin (850-200 BC) font un taux de C4 inférieur à l'attente. Ce qui implique que le maïs n'a pas un rôle prédominant, alors qu'il est domestiqué depuis longtemps. Ce constat a déjà été fait pour les périodes pre-céramiques andines (c. 2000 BC).
  9. Burland C. A. 1951, Chibcha Aesthetics,American Antiquity 17(2), 145:147.
    • Le peuple Chibcha (Muiscas) vivait en Colombie, dans la région de Bogota. Grands amateurs de bière de maïs et habiles métallurgistes, ils ont créé des coupes et vases à boire d'un grand raffinement.
  10. Butler Barbara 2006, Holy Intoxication toDrunken Dissipation: Alcohol among Quichua Speakers in Otavalo, Ecuador.University of New Mexico Press, Albuquerque.
  11. Camino Lupe 1987, Chicha de maíz: Bebiday vida del pueblo Catacaos, Centro de Investigación y Promoción delCampesinado–Piura.
  12. Cavero Carrasco Ranulfo 1986, Maíz,chicha y religiosidad andina, Universidad Nacional de San Cristóbal deHuamanga, Ayacucho.
  13. Cadwallader Lauren, Beresford-Jones DavidG., Whaley Oliver Q., O’Connell Tamsin C. 2012, The Signs of Maize? AReconsideration of What δ13CValues Say about Palaeodiet in the Andean Region, Human Ecology 40,487:509.
    • Les auteurs relèvent que d'autres plantes alimentaires de type C4 sont consommées dans les Andes à l'époque précolombienne, par les hommes et les animaux qu'ils mangent. Ceci devrait amener à réviser les conclusions sur la faiblesse du taux de C4 pour les périodes pré-céramiques des Andes (Burger 1990).
  14. Cook Anita, Glowacki Mary 2003. Pots, Politics and Power: HuariCeramic Assemblages and Imperial Administration. In The Archaeology andPolitics of Food and Feasting in Early States and Empires, ed. Tamara L.Bray, 173-202. New-York.
  15. Cummins Thomas B. F. 2002, Toasts withthe Inca: Andean Abstraction and Colonial Images on Quero Vessels. University of Michigan Press, AnnArbor.
    • Les queros sont des coupes de terre cuite tradtionnelles des Andes, imagées et destinées à boire la bière de maïs. Les scènes dont elles ont été décorées racontent l'influence de la colonisation espagnole sur les propres représentations et l'univers mental des amérindiens après la conquête.
  16. Cutler Hugh, Cardenas Martin 1947, Chicha, A Native South AmericanBeer, Harvard University Botanical Museam Leaflets 13(3).
  17. D'Altroy Terence N., Hastorf Christine A.1984, The Distribution and Contents of Inca State Storehouses in the XauxaRegion of Peru, American Antiquity 49( 2), 334:-349.
    • Dans l'empire des Inca, la region de Xauxa (hauts-plateaux central) comportait plus de 2.000 entrepôts répartis dans 52 complexes architecturaux. Leur organisation spatiale et leur standardization architectural suggèrent que ces moyens de stockage étaient contrôlés par l'autorité impériale. Les fouilles de 6 entrepôts ont trouvés les restes de plantes (maïs, quinoa, pomme de terre, lupin) et des fragments de récipients de stockage inca. Une partie de ces stocks était converti en bière.
  18. D'Altroy Terence, Earle Timothy, BrowmanDavid, La Lone Darrell, Moseley Michael, Murra John V., Myers Thomas,Salomon Frank, Schreiber Katharina, Topic John 1984, Staple Finance,Wealth Finance, and Storage in the Inka Political Economy, CurrentAnthropology 26(2), 187:206.
    • L'empire des Inca collecte, stocke et redistribue un volume énorme de produits et de biens de prestige. Ces mécanismes fondent la puisance économique et politique des Incas. Les aqllakuna (femmes choisies) manufacturent des textiles et brassent de la bière.
  19. Doughty Paul L. 1971, The Social Uses ofAlcoholic Beverages in a Peruvian Community, Human Organization 30(2),187:197.
  20. Duncan Neil A, Pearsall Deborah M.,Benfer Robert A. 2009, Gourd and squash artifacts yield starch grains offeasting foods from preceramic Peru, PNAS 106(32), 13202:13206.
    • http://www.pnas.org/content/106/32/13202.full
    • Restes de gourdes et de courges découverts sur le site archéologique de Buena Vista (Pérou central, c. 2200 BC). Elles contenaient des traces d'amidon de manioc (Manihot esculenta), pomme de terre (Solanum sp.), et des graines de piment (Capsicum spp.), d'arrow-root (Maranta arundinacea) et d'algarrobe (Prosopis sp.). Des festivités étaient organisées sur le site. Ce sont les plus anciens témoignages de consommation d'Algarrobe et d'Amarante au Pérou. De plus, les récipients fournissent des preuves que le manioc et l'algarrobe, qui peuvent être fermentés, seraient à une date tès ancienne la base de production de bières de diverses sortes.
  21. Gero Joan 1990, Pottery, Power, and ...Parties!, Archaeology 43(2), 52:56.
  22. Gero Joan 1992, Feasts and Females:Gender Ideology and Political Meals in the Andes, Norwegian ArchaeologicalReview 25, 15:30.
  23. Goldstein, Paul S. 2003, From Strew-Eaters to Maiza-Drinkers: TheChicha Economy and the Tiwanaku Expansion. In The Archaeology and Politicsof Food and Feasting in Early States and Empires, ed. Tamara L. Bray,143-172. New-York.
  24. Goldstein David John, Coleman RobinChristine 2004, Schinus Molle L. (Anacardiaceae) Chicha Production in theCentral Andes, Economic Botany 58(4), 523:529.
  25. Goldstein Paul 2003, From Stew-Eaters toMaize-Drinkers: The Chicha Economy and the Tiwanaku Expansion. In TheArchaeology and Politics of Food and Feasting in Early States and Empires(Tamara L. Bray ed.), New York, Kluwer Academia/Plenum, 143:172.
  26. Gómez Huamán, Nilo 1966, Importancia social de la chicha comobebida popular en Huamanga, Wamani 1(1), 33:57.
  27. Gose Peter 2000, The State as a Chosen Women: Brideservice and theFeeding of Tributaries in the Inka Empire, American Anthropologist 102(1),84:97.
    • Le devoir des palais incas de fournir bière, nourriture et vêtements aux tributaires de l'empire, en opposition apparente avec la politique de soumission guerrière et prédatrice du même empire.
  28. Hames Gina 2003, Maize-Beer, Gossip, andSlander Female Tavern Proprietors and Urban, Ethnic Cultural Elaborationin Bolivia, 1870-1930, Journal of Social History 37(2), 351:364.
    • L'histoire d'une jeune bolivienne, Manuela Serrano, partie en 1887 de Padilla, son village natal, pour émigrer à Sucre, la capitale. Là, après quelques années d'arget économisé et de nouveaux liens sociaux tissés, elle devient chichera (brasseuse) et créé sa propre chicheria (brasserie/vente de bière). Mais elle doit aussi se construire une nouvelle identité. Elle est devenue une chola, une amérindienne urbanisée vivant dans les faubourgs des grandes villes colombiennes. En 1910, elle a réussi à créer une chicheria pour sa fille Maria, une autre pour son fils Pastor.
  29. Hartman Günther 1958, AlkoholischeGetränke bei den Naturvölkern Südamerikas, Berlin.
  30. Hastorf Christine, Johannessen Sissell1993, Pre-Hispanic political change and the role of maize in the centralAndes of Peru, AmericanAnthropologist 95(1): 115-138.
    • Les stocks de maïs conservés de postes en postes le long de la route des Andes sont un moyen d'assoir le pouvoir politique des Incas de Cuzco dans leur vaste empire. Ces postes ravitaillent les messagers impériaux. Sur place, le maïs est converti pour eux en galettes et en bière. Ces réserves de maïs sont à la charge des populations locales.
  31. Hayashida Frances M. 2008, Ancient beerand modern brewers: Ethnoarchaeological observations of chicha productionin two regions of the North Coast of Peru, Journal of AnthropologicalArchaeology 27, 161:174.
    • Une observation des méthodes actuelles de brassage de la chicha fait apparaîre des changements qui doivent rendre prudent quand on les utilise pour décrire des procédes anciens. Même la brasserie traditionnelle des bières de maïs amérindiennes évolue.
  32. Henderson Hope, Ostler Nicholas 2005, Muisca settlementorganization and chiefly authority at Suta, Journal of AnthropologicalArchaeology 24, 148:178.
    • Les premiers signes d'inégalité et de formation de cheffferies datent de la période Muisca primitive, début 11ème siècle en Colombie. La compétition politique s'accentue entre chefs de petits établissements. Les archéologues interprètent l'apparition de coupes et jarres décorés pour boire la bière de maïs pendant des célébrations collectives comme un des signes révélateurs de cette marche vers des organisations sociales plus complexes.
  33. Jennings Justin 2005, La Chichera y El Patrón: Chicha and theEnergetics of Feasting in the Prehistoric Andes, American AnthropologicalAssociation 14, 241:259.
    • http://www.rom.on.ca/sites/default/files/imce/beerap3a.pdf
    • Jennings analyse le coût du brassage de la chicha, les moyens et les compétences à réunir. La famille qui patronne une fête ou des travaux agricoles par des distributions massive de chicha doit disposer de moyens économiques (champs, poteries, matériel de brassage, bois de chauffe, main d'œuvre, temps) au-dessus de la moyenne. Les fêtes de chicha représentent un véritable investissement social.
  34. Jennings Justin, Antrobus KathleenL., Atencio Sam J., Glavich Erin, Johnson Rebecca, Loffler German, LuuChristine 2005, "Drinking Beer in a Blissful Mood", CurrentAnthropology 46(2), 275:303.
    • http://www.rom.on.ca/sites/default/files/imce/beerca.pdf
    • Jennings et ses co-auteur(e)s se penchent sur les moyens économiques et techniques du brassage de masse de la bière de maïs dans le cadre des festivités organisés dans le Pérou pre-colombien. A côté de leurs ramifications sociales et politiques, ces fêtes impliquaient une organisation importante de la brasserie pour alimenter les fêtes en boisson fermentée. Complète en l'élargisant Jennings 2005.
  35. Jennings Justin, Chatfield Melissa 2009, Pots, Brewers, and Hosts:Women´s Power and the Limits of Central Andean Feasting. In Drink,Power, and Society in the Andes, (ed) Justin Jennings and Brenda Bowser,University Press of Florida, Gainesville, 200:231.
  36. Heath Dwight 1962, Drinking Patterns ofthe Bolivian Camba. In Society, Culture, and Drinking Patterns (DavidPittman & Charles Snyder, eds.) New York, 22:36.
  37. Holmberg Alan 1971, The Rhythm ofDrinking in a Peruvian Coastal Mestizo Community, Human Organization30(2), 198:202.
  38. La Barre Weston 2009, Native American Beers, American Anthropologist 40(2), 224:234.
    • Inventaire des bières brassées par les peoples amérindiens d'Amérique du sud et central.
  39. LlanoRestrepo, María and Marcela  Campuzano Cifuentes Marcela 1994, La chicha, una bebida fermentada a través de la historia. InstitutoColombiano de Antropología, Bogotá.
    • Histoire des bières de maïs, manioc depuis les Muiscas précolombiens jusq'en 1940. Cette histoire s'insère dans la politique de la Colombie, sa législation, son expansion urbaine et ses cultures métisées et indigènes.
  40. Lomnitz Larissa 1969, Patterns of AlcoholConsumption among the Mapuche, Human Organization 28(4), 287:296.
    • Les Mapuche vivent dans le sud du Chili. Leurs anciennes bières traditionnelles de pomme de terre ou maïs ont été remplacées par des bières industrielles, du cidre, du vin ou de l'alcool distillé. L'enquête de Lomnitz a porté sur un groupe de Mapuche nouvellement immigrés à Santiago. Peu d'informations historiques.
  41. Mangan Jane Erin 1999, Enterprise in the shadow of Silver :colonial, andeans and the culture of trade in Potosi, 1570-1700. PhDDepartment of History of Duke University.
    • Chicha, chicherias et chicheras dans la nouvelle ville colonial de Potosi.
  42. Meyerson, Julia 1990, ‘Tambo’: Life in anAndean Village. University of Texas Press, Austin.
  43. Moore Jerry 1989, Pre-Hispanic Beer in CoastalPeru: Technology and Social Context of Prehistoric Production, AmericanAnthropologist 91 (3) :682-695.
    • Moore montre qu'il existe plusieurs modes de production de la bière de maïs au sein de l'empire des Incas, donc plusieurs sortes de brasserie. L'une au service du pouvoir impérial dans l'enceinte de ses palais, une autre au service de l'empire à travers son vaste territoire, une dernière pour les fêtes et célébrations auquelles participe le peuple. Ce tableau rétablit la situation complexe de la brasserie au sein d'un empire très organisé et structuré.
  44. Morales Mónica P. 2012, ReadingInebriation in Early Colonial Peru. New Hispanisms Cultural & Literary Studies, AshgatePublishing Company, USA.
    • Tout spécialement la stratégie des missions catholiques au Pérou pour mettre hors la loi des coutumes de boissons collectives dont les raisons culturelles profondes n'étaient pas comprises.
  45. Morris Craig 1979, Maize Beer in the Economics, Politics, andReligion of the Inca Empire. In Fermented Food Beverages in Nutrition, ed.Clifford F. Gastineau, William J. Darby, Thomas B. Turner, 21-34. AcademicPress.
    • Un article pionnier sur le rôle central de la bière de maïs dans la construction de l'empire inca, avant qu'elle ne devienne une boisson ordinaire et indigène avec la conquête espagnole.
  46. Moseley Michael E., Nash Donna J., Ryan PatrickWilliams, deFrance Susan D., Miranda Anna, Ruales Mario 2005, Burning Downthe Brewery: Establishing and Evacuating an Ancient Imperial Colony atCerro Baúl, Peru. Proceedingsof the National Academy of Sciences 102(48), 17264:17271.
    • Les vestiges d'une brasserie aux frontières des anciens empires Wari au nord et Tiwanaku au sud, datés entre 600 et 1000. Ce sont à ce jour les plus anciennes traces archéologique de brassage sur le continent américain.
  47. Muelle Jorge 1978, La chicha en el distrito de San Sebastián, InTecnología Andina, Ravines (ed.), Inituto de Estudios Peruanos, Lima.
  48. Nicholson G. Edward 1960, Chicha maizetypes and chicha manufacture in Peru, Economic Botany 14(4), 290:299.
    • L'inventaire des types de chicha et la description de leurs methodes de brassage (insalivation, maltage, hydrolyse acide, ferment amylolytique).
  49. Orlove, Benjamin, Ella Schmidt 1995,Swallowing Their Pride: Indigenous and Industrial Beer in Peru and Bolivia,Theory and Society 24, 271:298
  50. Randall Robert 1993, Los dos Vasos. Cosmovisión y politica de laembriaguez desde el inkanato hasta la colonia, In Borrachera y Memoria,experiencia de lo sagrado en los Andes, Thierry Saignes (compilador),hisbol / IFEA Lima Perú, 73:111.
    • La bière des Andes participait de la circulation des fluides au sein des sociétés amérindiennes pré-colombiennes.
  51. Ridgely Bill 1994, Gold of the Aqllakuna, online http://xb-70.com/beer/chicha/aqllakun.htm (access may 2013).
    • Une page sur la bière de maïs des Incas, sa fabrication par les "femmes choisies" (Aqllakuna) pour la cour inca.
  52. Ryden Stig 1930, Une tête-trophée de Nasca, Journal de la Sociétédes Américanistes 22(2), 365:371.
    • Un crâne-trophée Nasca pour boire la bière de maïs, avec sa reproduction. Conservée au musée de Göteborg.
  53. Saignes Thierry 1992, Boire dans lesAndes, Cahiers de sociologie économique et culturelle 18, Lille, 53:62.
    • Cet article interroge le rôle de l'ivresse dans la culture andine avant et après la conquête espagnole. La bière de maïs est bue par les Amérindiens au-delà du simple besoin physiologique. Elle sert de vecteur pour stimuler la sociabilité et communiquer avec l'invisible.
  54. Saignes Thierry 1993, Borracherasandinas. ¿Por que los indios ebrios hablan en espanol?, in Borrachera yMemoria, experiencia de lo sagrado en los Andes, Thierry Saignes(compilador), hisbol / IFEA Lima Perú, 43:71.
    • Que cherchaient les amérindiens des Andes conquis par les Espagnols dans la bière de maïs ?
  55. Salazar-Soler Carmen 1993,Embriaguez y visiones en los Andes. Los Jesuitas y las"borracheras" indigenas en el Perú (Siglo XVI y XVII), inBorrachera y Memoria, experiencia de lo sagrado en los Andes, ThierrySaignes (compilador), hisbol / IFEA Lima Perú, 23:42.
    • Les festivités et l'ivresse amérindiennes incomprises des Jésuites et combattues par eux.
  56. Uzendoski Michael A. 2004, Manioc Beerand Meat: Value, Reproduction and Cosmic Substance among the Napo Runa ofthe Ecuadorian Amazon, The Journal of the Royal Anthropological Institute10(4), 883:902.
    • Cet article très dense d'un ethnologue pose le problème central qui anime toute histoire générale de la bière. La bière n'est pas seulement une boisson matérielle à la fois nourrissante, rafraîchissante et enivrante. Elle créée de la "valeur" sociale (échange au sein d'une communauté, lubrifiant des fêtes, partage inter-groupes) et symbolique (cosmologie, magie de la fermentation, division des sexes, contact entre vivants et défunts).
  57. Valdez Lidio 2006, Maize Beer Productionin Middle Horizon Peru, Journal of Anthropological Research 62, 53:80.
  58. Vázquez Mario 1967, La chicha en lospaíses andinos, América indigena 27, 264:282.
  59. Wagner Catherine Allen 1978, Coca, Chicha, and Trago: private andcommunal rituals in Quechua community. PhD University of Illinoisat Urbana-Champaign.
    • Rôle central de la bière de maïs dans les célébrations collectives ou privées d'une communauté de Songo, Hauts-Plateaux du sud péruvien, en lien avec la culture de la coca et du blé.
  60. Weismantel Mary J. 1991, Maize Beer andAndean Social Transformations: Drunken Indians, Bread Babies and ChosenWomen, Modern Language Notes 106(4), 861:879.

 

 

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07/02/2013  Christian Berger